HÔTEL DE VILLE DE SAINT JEAN DE MAURIENNE

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dimanche 28 avril 2013

L'UDI ET L'ECOLOGIE - Conférence de Presse de Pierre-Marie CHARVOZ sur ce thème devant les journalistes du Dauphiné Libéré et de la Maurienne ce vendredi 26 Avril 2013 à Saint Jean de Maurienne

 
 

Ce thème en Maurienne touche particulièrement les habitants de notre vallée confrontés à des choix et à des décisions importantes pour son avenir. Le dialogue doit s'instaurer et l'UDI Savoie pense que l'écologie n'est pas l'apanage d'un seul parti mais d'échanges entre tous les citoyens.

Accompagné de tous les représentants savoyards des différentes composantes de l'UDI Savoie , Pierre-Marie CHARVOZ - confirmait l'importance des réflexions à venir et ceci suite à la réunion " LE REVEIL DE L'ECOLOGIE" qui s'est tenue le 13 avril à Paris sous l'égide de Jean-Louis BORLOO
 
"Je suis convaincu que, sans une réflexion commune entre tous les acteurs de la vie politique, économique et associative sur la vie en Maurienne nous manquerions le grand tournant qui marquera les années à venir, essentielles pour notre avenir." DM
 
Des extraits de cette réunion sont présentées ci-dessous :
 
"L'UDI plus verte que les Verts ? Le parti de Jean-Louis Borloo a organisé samedi 13 avril, dans le 15e arrondissement de Paris, une grande réunion intitulée "le réveil de l'écologie". Le but : montrer qu'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) n'a plus le monopole de la question et que le centre droit peut aussi incarner la défense de l'environnement. Surtout, s'emparer de ces thèmes, peu habituels à droite, aide l'Union des démocrates et indépendants à se démarquer de leur "partenaire de coalition", l'UMP, plutôt frileux sur l'écologie.
"L'UDI, c'est l'esprit de l'UDF, le développement durable en plus !", assure, au Monde, M. Borloo. Le député du Nord jure en revanche que cette offensive sur l'écologie n'est pas de la "politique politicienne". "Je fais de la politique pour défendre ce en quoi je crois", ajoute-t-il. "L'écologie est transcourant, c'est l'affaire de tous, au-delà des sensibilités. On n'est pas dans la recherche de parts de marché", continue l'ancien ministre d'Etat. Il rejette également toute idée de concurrence avec EELV, même s'il précise que "l'écologie ne peut pas se résumer à un parti".
"UNION RÉPUBLICAINE AUTOUR DE L'ÉCOLOGIE"
Lors de son discours de clôture samedi en fin de journée, M. Borloo a ainsi prôné une "union républicaine autour de l'écologie, de l'emploi, et du pouvoir d'achat" proposant la création d'un poste de "vice-président du développement durable" qui aurait les compétences de l'ancien ministère d'Etat de l'environnement (énergie, transport, urbanisme, logement, mer, océans et écologie). "Je veux faire de la France le premier pays écologiste au monde !", a lancé M. Borloo devant environ 400 personnes.
La transversalité revendiquée par l'UDI s'est aussi incarnée samedi après-midi avec la venue de Laurence Vichnievsky, ancienne tête de liste Europe-Ecologie en Provence-Alpes-Côte-d'Azur, lors des régionales de 2010. "Je ne suis pas membre de l'UDI mais il faut établir des passerelles entre les différentes tendance de l'écologie. L'écologie n'est ni de gauche, ni de droite ", a notamment lancé l'ancienne juge qui est élue EELV, qui a précisé qu'elle s'exprimait à "titre personnel", pas au nom de son parti duquel elle s'est éloigné.
Malgré ces bonnes intentions, l'UDI entend évidemment jouer cette carte pour exister en 2014 lors des élections municipales et européennes. "L'UMP ne s'est pas emparée de ces valeurs. Le MoDem a perdu Cap 21 [le parti de Corine Lepage]. Et avec le Grenelle, on est crédibles sur ces questions", estime Yves Jégo, député UDI de Seine-et-Marne et délégué général du parti.
"ÉCOLOGIE RAISONNABLE"
C'est aussi l'avis de Chantal Jouanno. La sénatrice UDI de Paris et ancienne secrétaire d'Etat à l'écologie quand M. Borloo était ministre de l'environnement croit qu'il est possible de faire de l'UDI le "premier parti sur l'écologie", car "cette question est réduite aujourd'hui à l'écologie politique et à des Verts de plus en plus à gauche", dit l'ancienne UMP. "Il n'est pas nécessaire d'être de gauche pour être écolo ! Il faut sortir de cette idée de marier l'écologie et le néomarxisme !", complète Yves Jégo. "L'écologie raisonnée et raisonnable, c'est nous, face à l'écologie dogmatique des Verts", résume-t-il.
Pour M. Borloo et son parti, le bilan du Grenelle de l'environnement, porté par le président de l'UDI lorsqu'il était au gouvernement de François Fillon, suffit à crédibiliser la démarche. "Avec Jean-Louis Borloo, nous avons été porteurs de ces sujets, personne ne le conteste", affirme encore Mme Jouanno. Elle l'affirme : "Ceux qui, aujourd'hui, rejoignent Jean-Louis Borloo ne peuvent pas ne pas être écolos."
Reste à convaincre les électeurs qui n'ont pas encore franchi le pas de voter à droite. Et ce ne sera pas forcément évident. "Il faudra de la pédagogie pour dire que l'écologie peut être du centre ou du centre droit... Y a du boulot !", reconnaît Mme Jouanno."

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